Avec Franck Dubosc, Alexandra Lamy.
Sublime ! À bas les clichés ! Et pourquoi faire ?
Avertissement : Ce n’est pas le stand-up de ceux qui veulent changer le monde. Le monde est bien tel qu’il est. Ce n’est pas non plus un film féministe, c’est devenu ringard.
Mention : Rôle de l’assistante, Elsa Zylberstein, remarquable.
C’est un Français désespéré d’avoir essayé d’être authentique. Il est en réalité un homme du monde. La mort d’un être cher le bouleverse, le sublime.
Authentiques, ils le sont ensemble. Assis, debout, peu importe.
Elle, modestement, le rencontre assise. Lui, comme à son habitude, en homme du monde.
Le folklore, une authenticité, n’a pas été traité. Seulement, des clins d’œil. À une prochaine, peut-être.
L’idée du père était géniale. Le folklore prend un petit coup. C’est un château sans rocher. À la prochaine sûrement.
Mais qu’est-ce que j’ai ri, c’est délicieusement ringard.
Tout le monde debout - Bande-Annonce