D’abord, le populisme n’est pas uniquement politique. C’est une vision d’ensemble de la vie. Elle est présente partout.
EEn politique, les populistes sont actuellement la composante majoritaire dans les partis nationalistes ; espérons que cela ne va pas durer.
Pour preuve, un de leurs leaders a émis, lors des dernières présidentielles, une opinion juridique sur l’infaillibilité de la personne morale (l’État, en l'occurrence) sans qu’il y ait une réponse véhémente de la classe politique. Plus que tout, il s'agissait de la Shoah (des citoyens français juifs).
C’était énorme ! !
Le populisme est égal à pauvreté. Pourquoi ? D’abord, il surgit quand les choses vont mal. Quand les choses vont bien, il profite, dolent, de l’aisance collective.
Le populisme ne construit pas, il critique pour critiquer. Il ne sortira pas les pauvres de leur pauvreté. La pauvreté est la source de son énergie. Il la reproduira toujours et toujours. C’est essentiel pour sa survie.
Parfois, la pauvreté, je souligne encore dans le sens négatif, est un choix. Mais souvent, on l'impose aux autres.