Aujourd’hui, j’ai vu ce film : L’embarras du choix (Un film de Eric Lavaine).

Une bonne note pour le cinéma français (En ces temps de disette que rien ne justifie). Quoique sur le plan technique, je trouve à redire. L’embarras du choix est pris dans le sens de la multitude d’options qui nous est offerte dans la vie de tous les jours et devant les grandes décisions de la vie.

Mais aussi, dans le cas de l’héroïne du film, Juliette (Alexandra LAMY) où l’indécision devient pathologique.

L’indécis

Les enfants héritent-ils de la psychologie de leurs parents ? Oui, peut-être. Cependant, ils ne sont pas les seuls à intervenir dans la formation de la personnalité propre du futur adulte. Tout l’environnement y contribue pour la finalité de faire surgir la personnalité propre, intrinsèque et originale de chaque être.

L’indécision n’est pas un signe pathologique ou de faiblesse. Un café ou un thé, ce choix anodin nous prend souvent un peu de temps. Cela dépend de beaucoup d’éléments.

Les grandes décisions de la vie : Le choix du partenaire (sa moitié).

Dès la naissance, c’est la grande Décision que l'on nous prépare à prendre. Car les possibilités et les conséquences sont multiples. Notre époque a élargi ces options dans l’espace. Nous avons tous l’embarras du choix.

Devant une décision aussi importante que dangereuse, nous avons besoin d’aide, celle de la famille (Dans le film, le père) qui oriente sa fille vers la sécurité (les valeurs sûrs, comme on dit), les copains, le hasard…

Le partenaire une conquête ?

L’approche de la conquête de l’autre est la pire méthode de séduction. Conquérir l’autre, c’est le soumettre, c’est user de subterfuges, s’approcher de lui comme on croit qu’il est, parce que l’on croit que c’est lui la moitié, on décide à sa place.

Souvent les novices en matière amoureuse demandent conseils à ceux qu’ils considèrent comme experts « Les tombeurs » . C’est les pires conseils… les tombeurs…

Il n’y pas de méthodes. C’est une chimie. Ça vient tout seul…

Épilogue

Ni la famille, ni la culture, ni la sécurité n’ont été déterminants.

C’est l’amour loin de tout… Comme dans la vie…