Volatilité de la culture
Il fut un temps où la culture «urbaine» dite aussi populaire était fort soignée : s'offrir une folie, c'était s'acheter une maison de campagne, Les Folies-Bergère est un théâtre, à folie, on a substitué affection ou maladie banale guérissable. Mais cette culture peut muer vite en inculture. Les autodafés, la psychologie des foules et les révoltes nous rappellent que le savoir est très volatil. La société pourrait perdre ses repères et sa culture en un clin d’œil.
Psychiatrie et culture “urbaine”
La culture «urbaine» excelle dans la caricature des sciences. La psychiatrie, encore plus, est satirisée et est à la limite de la stigmatisation. Pourtant, ses praticiens ne lésinent pas sur les efforts pour la vulgariser. Certes aussi, il y a beaucoup de charlatans de ce domaine.
Les Psychoses en exemple
Cette médecine, entre autres, guérit les psychoses. Celles-ci sont des affections physiques par opposition à morales. Ce dernier sens je le réserverai pour les maladies traités par les sciences théologiques, par exemple.
Ces quelques lignes sont un prélude, j'espère l'étoffer avec plusieurs postes pour contribuer, un tantinet, à lutter contre ces appréhensions rétrogrades des affections mentales.